Reportage / Metal Gear Solid : The 80’s Fanart Experience !

Reportage / Metal Gear Solid : The 80’s Fanart Experience !

Parmi les grands noms figurant au Panthéon des sagas de jeux vidéo cultes, Metal Gear tient une place à part. Afin de créer l’événement à la veille de la sortie du dernier opus de la série, Metal Gear Solid V : The Phantom Pain, French Paper Art Club, Geek-Art et KONAMI nous ont proposé de découvrir une exposition événement ouverte à toutes et à tous du Mercredi 1er au Samedi 4 juillet dans un lieu spécialement aménagé pour l’occasion : le Doors Studio, à Paris.

Au programme, 10 artistes choisis par KONAMI, French Paper Art Club et Geek-Art. 10 visions de l’univers extraordinaire de ce jeu d’action-infiltration open world réunies dans un endroit exceptionnel au cœur de Paris.

Le thème ? 1984. C’est en effet à cette époque que se déroule le jeu, en Afghanistan, lors de la dernière grande Guerre entre l’URSS et les USA. Chaque artiste a ainsi créé une pochette d’album vinyle et/ou une cartouche de Nintendo NES, deux objets cultes de cette décennie. Les œuvres seront également déclinées sous forme de prints encadrés, laissant libre cours à l’interprétation du jeu par ces artistes Français et internationaux.

Ci-dessous, nos photos qui vous permettront de découvrir l’expo’ comme si vous y étiez !

Mention spéciale à Ideealizse, une artiste Française qui exerce à travers une technique à base de polygones, l’art de la facette, que l’on peut également appeler low poly. Un regard nostalgique sur les grands héros de son enfance. C’est toute la Pop Culture qui passe au travers de ses réalisations, inspirées par les incontournables thèmes des dernières décennies. « Metal Gear Solid est un jeu vraiment exceptionnel que j’ai découvert sur la Playstation 1. Quand on parle de jeu d’infiltration en jeu vidéo, notre première pensée va à MGS. Ce titre fondateur de la série est juste mythique pour moi. Quand on m’a contacté pour rendre hommage à Phantom Pain, j’ai tout de suite pensé à Yoji Shinkawa et à son trait graphique nerveux à base de noir et rouge qui le caractérise. C’est cette piste que j’ai exploité pour illustrer Big Boss. Le low poly me permet de créer une double lecture de l’œuvre quand on la regarde de près et de loin. J’avais envie d’utiliser cette double lecture en créant des cases comme dans une BD pour plonger le visiteur dans un face à face avec le héros. »

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