Marre de vous cacher ? Voici 9 jeux d’horreur où devez riposter

17 Juin 2025 | GAMING - MIS EN AVANT, Jeux vidéo

jeux d’horreur

Certains jeux d’horreur vous placent dans la peau d’une victime impuissante, bonne seulement à se cacher dans un casier en espérant que le monstre passe son chemin. Et même si ce genre de tension a son charme, aujourd’hui, on parle de jeux qui vous offrent un choix : vous recroqueviller dans un coin… ou attraper un fusil à pompe et montrer aux monstres que c’est eux qui sont piégés avec vous. Si c’est ce que vous cherchez, cette liste est faite pour vous.

F.E.A.R.

 

  • La peur : Une fillette psychique et des couloirs angoissants et silencieux.
  • Le combat : Un arsenal militaire complet et du bullet-time.

F.E.A.R. est une leçon de contraste. Un instant, vous avancez à pas feutrés dans un immeuble plongé dans le noir, lampe torche en main, effrayé par une apparition furtive de la terrifiante Alma. L’instant suivant, une escouade de soldats clones armés jusqu’aux dents défonce un mur, et le jeu se transforme en un ballet cinématographique de violence. Grâce au « Reflex Time » (ralenti), chaque embuscade devient une chorégraphie de balles, de verre brisé et de chaos contrôlé. Vous ne vous contentez pas de survivre : vous dominez le champ de bataille comme un John Wick surnaturel.

Bloodborne

  • La peur : Des créatures grotesques dans un monde ravagé par la folie.
  • Le combat : Offensif, brutal et rythmé par des armes à transformation.

Par les créateurs de Dark Souls, Bloodborne vous plonge dans la ville gothique et pestiférée de Yharnam avec une seule directive : « Chasse tes cauchemars. » Se cacher n’est pas une option. Son système de « regain » vous incite à contre-attaquer pour récupérer votre santé perdue. Cela encourage un style de jeu agressif et fluide. Armé de hachoirs se transformant en énormes haches ou de cannes devenant des fouets tranchants, vous incarnez un Chasseur. Vous ne fuyez pas les monstres : vous esquivez, parez avec votre pistolet, et les déchiquetez dans une frénésie sanglante.

Dying Light

  • La peur : Des hordes de zombies et des nuits mortelles.
  • Le combat : Du parkour et des armes improvisées.

Dans Dying Light, survivre passe par le mouvement. Vous courez sur les toits d’une ville infestée de zombies, entre parkour et grappin. Le jour, les infectés sont lents, et les éliminer avec des pièges ou des armes artisanales est un plaisir. Mais la nuit, tout change. Les zombies deviennent rapides, violents, intelligents. Et c’est là que le jeu prend tout son sens. Sortir la nuit est risqué, mais extrêmement gratifiant en expérience. Le jeu vous pousse à utiliser l’environnement à votre avantage, et à passer de proie à prédateur dans une ville morte.

Resident Evil 7 : Biohazard

  • La peur : La famille Baker, la claustrophobie, et un sentiment de vulnérabilité.
  • Le combat : Un couteau, un pistolet, et une volonté de survivre.

Contrairement aux autres épisodes de la saga, dans Resident Evil 7 vous incarnez Ethan Winters, un homme ordinaire à la recherche de sa femme, piégé dans une maison de fous cannibales. Au début, vous êtes vraiment sans défense. Puis vient le moment où vous trouvez votre premier pistolet, et chaque balle placée dans le corps apparemment immortel de Jack Baker est une victoire. Ethan ne devient jamais un super soldat : santé et munitions sont limitées. Mais vous pouvez enfin riposter.

The Evil Within 2

  • La peur : Une pression psychologique constante dans un monde en pleine désintégration mentale.
  • Le combat : Infiltration, armes artisanales et choix tactiques.

Dans cette suite signée Shinji Mikami (créateur de Resident Evil), fini les couloirs étroits. The Evil Within 2 vous laisse explorer des zones semi-ouvertes et choisir votre approche : élimination silencieuse ou affrontement direct. Le système de craft vous oblige à fouiller chaque recoin, transformant la survie en stratégie. Le danger est permanent, mais vous avez toujours l’impression de garder le contrôle.

Dead Space Remake

  • La peur : Les Nécromorphes et le manque constant de munitions.
  • Le combat : Des outils d’ingénieur transformés en armes de survie.

« Visez les membres ! » Tout joueur de Dead Space connaît cette règle. Les tirs à la tête ne servent à rien : il faut méthodiquement démembrer les Nécromorphes avec votre découpeur plasma. Isaac Clarke est un ingénieur, pas un soldat, et le jeu ne l’oublie jamais. Chaque affrontement est une lutte paniquée pour découper le bon membre avant que la créature ne vous atteigne. Isaac ne sauve pas le monde. Il essaie juste de survivre avec ses outils.

The Callisto Protocol

  • La peur : Des mutants répugnants, des couloirs étroits, et des litres de sang.
  • Le combat : Combats brutaux, armes futuristes, et gant gravitationnel.

Impossible de parler de Dead Space sans évoquer son successeur spirituel. Dans The Callisto Protocol, les combats rapprochés sont au cœur de l’expérience. Jacob Lee, un simple prisonnier, se bat pourtant comme un vétéran. Le gameplay repose sur l’esquive, le timing, et l’utilisation intelligente de l’environnement. Le gant gravitationnel offre des moments jouissifs : projeter un mutant dans une turbine ou contre des pics est une vengeance cruelle mais jouissive.

Alan Wake 2

  • La peur : Une réalité déformée, des cultistes, et des ombres humaines.
  • Le combat : Une lampe torche et un revolver.

Dans Alan Wake 2, l’ennemi, c’est littéralement l’ombre. Pour toucher les « Taken », vous devez d’abord dissiper leur bouclier ténébreux avec votre lampe. Cela transforme chaque affrontement en puzzle tactique. Vous gérez vos piles, cherchez la lumière, et tentez de ne pas vous faire encercler. Le combat devient une chorégraphie stylisée de lumière et d’obscurité, où la moindre erreur peut être fatale.

Resident Evil 4 Remake

  • La peur : Des villageois fanatiques armés de tronçonneuses et de fourches.
  • Le combat : Tirs de précision et coups de pied retournés.

Si RE7 mise sur l’intimité horrifique, Resident Evil 4 est un feu d’artifice d’action et de tension. Leon S. Kennedy n’est plus un débutant : c’est un agent confirmé. Le jeu récompense l’agressivité : tirez dans les jambes, enchaînez avec un coup de pied pour étourdir la foule, puis terminez au couteau. Chaque combat est une scène d’action orchestrée où vous contrôlez le chaos, gérez la foule, et ressortez toujours vainqueur. C’est de l’horreur-action à son apogée.

Conclusion

Le monde des jeux d’horreur est vaste et nuancé. Il propose des défis uniques et une immersion totale dans une lutte désespérée pour survivre. Chacun des jeux cités ici vous oblige à réfléchir, planifier et optimiser vos ressources pour survivre à l’horreur. Ces jeux ne pardonnent rien, mais c’est justement ce qui les rend si captivants : une épreuve où seul votre sang-froid fera la différence.

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Et vous, quels jeux de survie réalistes ajouteriez-vous à cette liste ? Dites-nous tout dans les commentaires !