Rires, westerns, stars américaines et films d’auteur sur FilmoTV !

30 Jan 2018 | Cinéma Séries

FilmoTV

Rires, westerns, stars américaines et films d’auteur sur FilmoTV.

Jerry Lewis

Disparu en 2017, Jerry Lewis marqua tout une génération comme acteur autant que réalisateur. Il fut longtemps l’homme des films du dimanche après-midi. Chacun de ses films est un festival de rires, du moins en France qui lui accorda toujours ses faveurs !

  • Artistes et modèles de Frank Tashlin (1955) quand le duo vedette depuis la fin des années 40, Dean Martin/Jerry Lewis rencontre Dorothy Malone et Shirley MacLaine, le tout sous l’autorité de celui qui fut notamment le gagman des Marx Brothers !
  • Cendrillon aux grands pieds de Frank Tashlin (1960) est une version masculine du célèbre conte de fée transposé dans les années 60 à Los Angeles.
  • Dans Jerry chez les cinoques de Frank Tashlin (1964) il campe un infirmier décidant de travailler double pour payer la note d’une jeune patiente de la clinique huppée dans laquelle il exerce, n’en n’ayant pas les moyens.
  • Le dingue du palace de Jerry Lewis (1960) est écrit et réalisé par Jerry Lewis lui-même, pour la première fois et en seulement quelques semaines. Dans ce film comique à l’état pur, il y joue son propre rôle.
  • 3 bébés sur les bras de Frank Tashlin (1958) raconte l’histoire d’un réparateur de télé qui tombe amoureux d’une star de cinéma. Elle tombe enceinte de son mari lequel décède le lendemain des noces et se réfugie auprès du réparateur qui promet de prendre soin d’elle et…des triplés !

Far west

Né d’une tradition littéraire datant du début du XIXème siècle et narrant la conquête de l’ouest, le western – terme inventé par et pour le cinéma – fait son apparition en 1903 et connaîtra un âge d’or dans les années 50.

  • A l’ombre des potences de Nicholas Ray (1955) est le récit d’une transmission et d’un apprentissage raté. Il y est question de conflit, de pardon et de rédemption.
  • Moment fondateur d’une série de 7 films réalisé par Budd Boetticher et interprété par Randolph Scott, 7 hommes à abattre (1956) retrace la quête d’un shérif pour se venger et éliminer les sept braqueurs responsables de la mort de sa femme.
  • Du sang dans le désert d’Anthony Mann (1958) avec Henry Fonda dans le rôle d’un ancien shérif devenu chasseur de primes qui sauve la vie du jeune shérif inexpérimenté incarné par Anthony Perkins.
  • Caravane vers le soleil de Russell Rouse (1959) est une folle traversée de l’ouest. Elle retrace l’immigration authentique d’une communauté basque fuyant les guerres napoléoniennes, avec pour objectif de faire pousser des vignes. Béret, espadrilles et bagarre à coup de chistera au rendez-vous face aux indiens !
  • Le dernier train de Gun Hill de John Sturges (1959) avec Kirk Douglas dans le rôle d’un shérif de l’Oklahoma décidé à retrouver les hommes qui ont tué et violé sa jeune épouse indienne aidé de son vieil ami en la personne d’Anthony Quinn.
  • Nevada Smith d’Henry Hathaway (1966), vengeance et racisme au programme avec Steve McQueen en jeune métis parti à la recherche des trois hommes ayant tué ses parents.

C’est ça aussi l’Amérique

Des films montrant une autre facette, moins conventionnelle d’une Amérique plurielle.

  • The Dictator de Larry Charles (2012) raconte la visite aux Etats Unis d’un dictateur d’un pays fictif du moyen orient…une sorte de documenteur ! Avec Sacha Baron Cohen, Ben Kingsley et même une apparition de Gad Elmaleh.
  • Witness de Peter Weir (1985) est une plongée en communauté amish. Alors que son fils est témoin d’un meurtre, Kelly McGillis le ramène dans sa communauté comme témoin protégé par Harrison Ford.
  • Dans Nos souvenirs brûlés de Susanne Bier (2007) une jeune veuve décide de se tourner vers un ami de son mari qu’elle ne supportait pas pour surmonter l’épreuve. Avec Halle Berry, Benicio del Toro et David Duchovny.
  • Le flambeur de Karel Reisz (1975) transpose Dostoïevski à Las Vegas, avec James Caan dans un rôle du joueur invétéré.
  • Dressé pour tuer de Samuel Fuller (1982) adapte Chien blanc de Romain Gary. Une femme adopte un chien dont elle découvre qu’il est dressé pour agresser les noirs et fait appel à un dresseur pour le rééduquer.

Emmanuelle Béart

Actrice iconique du cinéma français ayant tourné avec les plus grands réalisateurs, Emmanuelle Béart est en ce moment sous les projecteurs de FilmoTV avec 4 longs métrages :

  • J’embrasse pas d’André Téchiné (1991) dont le personnage de la prostituée joué par Emmanuelle Béart est inspiré de la Loulou du film de Georg Wilhelm Pabst.
  • La bûche de Daniele Thompson (1999) quand le réveillon de Noël cristallise toutes les tensions familiales et plus particulièrement celles des fratries, entre rivalité et complicité.
  • Nathalie… d’Anne Fontaine (2003) avec Fanny Ardant et Gérard Depardieu dans une sorte de ménage à trois. Une femme trompée engage une prostituée dont le pseudo est Nathalie pour qu’elle lui relate sa relation avec son mari.
  • Nelly et monsieur Arnaud de Claude Sautet (1995) est le dernier film du réalisateur pour lequel il reçoit le César du meilleur réalisateur et, Michel Serrault, celui du meilleur acteur. On y découvre la rencontre entre Nelly et monsieur Arnaud, pour qui elle dactylographie les mémoires. Rencontre qui va bouleverser sa vie…

 

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