Preview – On a joué à Prey chez Bethesda !

Preview – On a joué à Prey chez Bethesda !

Prey

Il y a quelques jours nous avons eu l’immense chance de pouvoir tester en avant-première, le tout nouveau FPS RPG de chez Arkane Studios, Prey. Très attendu par la communauté suite à un sublime trailer durant l’E3, ce dernier sera-t-il à la hauteur ? Éléments de réponses après une petite heure de jeu !

Mais Prey… c’est une nouvelle licence ? Pas tout à fait. Sortie il y a quelques années sur XBOX et PC, Prey est bien connu des joueurs, mais, pour autant, ce nouveau jeu d’Arkane n’est pas du tout une suite, mais plutôt un reboot. Donc pas de souci si vous n’avez pas fait le « précédent » Prey.

Après une belle cinématique d’intro et le choix du sexe de notre personnage, Morgan Yu, scientifique à première vue, on s’est directement dirigé vers notre objectif de mission et là, magnifique introduction de jeu en hélicoptère, qui nous permet de voir à quel point le Cry Engine fait le travail pour rendre ce nouveau jeu vraiment magnifique, en particulier au niveau de la gestion des lumières et des couleurs.

A l’instar d’un Dishonored ou même d’un Deus Ex, dans Prey vous aurez droit à un level-design monumental et un nombre incroyable d’interactions avec le décor et les objets qui vous entourent. Afin de tout débloquer et bien comprendre le scénario vous devrez donc faire bien attention à ouvrir tous les tiroirs, les mails, .. C’est quelque chose d’assez fou, mais vraiment important pour le background.

En avançant un peu dans la démo et après une énorme révélation sur ce qui se passe réellement dans le jeu, vous aurez enfin la possibilité de combattre les ennemis, étranges et super-flippants, qui se dresseront face à vous. Et pour vous défendre, petite référence ou non à Half Life, vous aurez droit, au début du jeu, à une sorte de clef à molette. Pour rajouter de la difficulté, sachez que l’immersion est totale tellement l’ambiance est glauque, les musiques terrifiantes, mais incroyablement bien choisies, et tant les ennemis (les mimiques) sont difficiles à abattre, ayant le pouvoir de prendre la forme des objets qui vous entourent !

Le décor étant planté, la tension est là, on est hyper concentré, tremblotant à quelques moments, et Prey nous démontre, enfin, son côté RPG avec le looting des ennemis, la recherche de codes d’accès dans les emails, les cartes, et surtout le « crafting » (via une machine « fabricator » grâce à des plans de crafts et le démantèlement d’objets inutiles avec le recycleur) ! D’ailleurs, cette composante RPG est vraiment visible à partir du moment où vous récupérez un neuromode, objet qui vous permettra d’acquérir certaines compétences (scientifique, sécurité et ingénieur) via un arbre de compétence.

Bref, cette courte session sur Prey fut vraiment une belle première expérience sur le jeu, une sorte de Dishonored du futur, et on a vraiment hâte d’avoir la version finale entre nos mains pour découvrir la suite ! Excellentes premières impressions !

 

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