Wasteland 2: Director’s Cut
Le producteur à l’origine de Fallout a conclu un partenariat avec Nintendo pour Wasteland 2: Director’s Cut, la suite du tout premier jeu de rôle post-apocalyptique sur PC. inXile Entertainment, le studio créé par le fondateur d’Interplay Brian Fargo annonce ainsi la sortie de Wasteland 2: Director’s Cut sur Nintendo Switch en août 2018.
Wasteland 2: Director’s Cut est une version améliorée du titre original qui comporte de nombreux ajouts et améliorations qui immergent encore plus le joueur dans cette aventure épique à travers un Sud-Ouest américain post-nucléaire.
Fonctionnalités :
- Il n’y a pas de solution universelle : vous n’avez pas spécialement envie de chercher la clé d’une porte ? Pour l’ouvrir, vous pouvez tout aussi bien crocheter la serrure, donner un grand coup de pied dedans ou simplement l’exploser !
- Les conséquences de vos actions : tôt ou tard, les décisions que vous prendrez auront des répercussions sur les événements du jeu, et sur la vie des survivants dans les terres dévastées.
- Personnalisation à gogo : vous disposez de milliers de variations pour personnaliser l’aspect de vos rangers. Des centaines de personnages et plus de 150 armes pour une expérience de jeu unique qui ne ressemble à nulle autre.
Nouvelles fonctionnalités de la version Director’s Cut :
- Personnalisez votre escouade encore davantage : vous pouvez désormais modifier les traits de vos personnages en utilisant toute une panoplie de bonus… et de malus uniques.
- Frappes de précision : faites pleuvoir les tirs et les attaques tactiques pour affaiblir vos ennemis !
- Un doublage enrichi : plus de 8 000 lignes de dialogue doublées ont été ajoutées pour les personnages et les compagnons du jeu, pour donner vie aux terres dévastées comme jamais auparavant.
Le jeu propose plus de 80 heures de jeu où vous devrez équiper votre escouade de rangers du désert avec l’artillerie la plus dévastatrice qu’on puisse trouver dans cette région du monde, tester les limites de vos compétences stratégiques et ramener la justice dans les terres dévastées.
SOURCE : COMMUNIQUE DE PRESSE – RESET PR