Moroi
L’éditeur Good Shepherd Entertainment (Dicefolk, Monster Train) et le studio Violet Saint annoncent aujourd’hui Moroi, un hack-and-slash dark fantasy inspiré du folklore roumain, du heavy metal et de l’œuvre exceptionnelle de David Lynch. Cet univers intensément surréaliste et dérangé, entre humour noir et troubles horrifiques, sortira sur PC début 2025.
Les profondeurs obscures du labyrinthique Cosmic Engine de Moroi sont un terrain de jeu pour le moins déroutant, dont les couloirs tortueux et les horreurs oubliées confinent à la folie. Vous êtes frappé d’amnésie. Votre nom, votre passé et vos péchés échappent à votre mémoire, solidement harnachés aux ténèbres dont il faudra les extirper par le sang. Les sentiers de ce royaume tourmenté sont constellés d’autochtones grotesques, dont l’humour d’un noir profond est l’une des rares lueurs d’espoir. Ballotée par les reliquats de votre santé mentale vacillante, votre existence se détériore à chaque nouveau pas. Point de salut dans la grimdark fantasy, qui se distingue par son décorum dystopique et ses histoires funestes.
Faites la guerre aux bataillons de mages, de gardes et de morts-vivants maudits de Moroi à l’aide d’un arsenal effroyable d’outils peu orthodoxes. Labourez la chair de vos ennemis avec les dents acérées d’un canard infernal ou déchaînez une myriade de projectiles à l’aide d’un cerveau volant : dans chaque recoin se niche une découverte inattendue ou un nouvel instrument de mort.
Les horreurs du labyrinthe innommable de Moroi s’étendent bien au-delà de la moiteur crasse de ses combats, avec des des environnements poisseux, des individus excentriques et des puzzles belliqueux qui remettent en question les fondements même de la logique. Les épreuves de Moroi ne se limitent pas à de simples blocs à pousser, requérant par exemple de boire du sang, de forcer une régurgitation ou de fouiller dans des entrailles pour s’enfoncer plus profondément dans les méandres de ce satané Cosmic Engine. Le triomphe ne se définit que dans la souffrance. Ce monde paranoïaque ne livrera ses secrets qu’au prix d’un immense sacrifice, à peine atténué par les saillies verbales déroutantes des hurluberlus qui le peuplent.
Vous échapper est votre seul espoir. C’est la clé pour comprendre la terrible vérité qui vous lie à ce maelstrom infernal. Mais progressez avec prudence, car les choix que vous ferez forgeront votre chemin vers l’une des nombreuses fin, dont les contours qui se dessinent au fil de l’aventure peuvent s’avérer plus tranchants encore que le Cosmic Engine lui-même.
SOURCE : COMMUNIQUE DE PRESSE – COSMOCOVER
